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Les provocations politiques de Djamel BOUMAAZ commencent à le rattraper sur un plan judiciaire. "L’homme à faire taire", plaintes apres plaintes l’élu se voit déborder par les affaires. 

Pas de fraude ni de malversation encore moins d’abus de pouvoir ou de biens sociaux mais une parole trop libre et des gestes trop engagés lui valent d’être poursuivi régulierement . 

Une asphyxie financière pour Djamel BOUMAAZ car si ses opposants ont les frais de justice pris en charge par le contribuable ce n’est pas le cas pour l’élu qui doit assurer sa défense . 

Pour autant, droit dans ses bottes, il assume et ne mâche pas ses mots ni ses gestes. Le service de quenelles lors du dernier conseil risque encore de lui coûter cher ? 

Pour l’heure il s’explique sur le plateau d’Agglo.tv sur la décision de justice consécutive à une plainte du Maire de Montpellier. 

On ne touche pas au drapeau de la LGBT !!  6 mois de prison avec sursis et 5 ans sur la touche des bureaux de vote.

Explications ...